MELHAUS Charles : musicien, né à Niederserdacam ca 1818.
1836 13 janvier : à Dunkerque, demeure à Niederserdacam (102).

MELHAUS Gilbert : musicien, né à Limbourg (Nassau).
1836 13 janvier : passeport pour Calais, demeure à Limbourg, venait de Weilburg (24 février 1835) (103).

MELLIATE François André : musicien au 22e régiment, né ca 1801.
Témoin au mariage le 16 avril 1822.

MELSEN Alfred Henri : professeur de musique, relieur, né à Dunkerque le 21 septembre 1840, fils de Louis Désiré (voir ci-dessous) et de Joséphine DEGRUSON.
1877-1878 : Professeur d'instrument à vent en bois à l'Ecole de Musique.
Domiciles (104) : 1841, 11 rue des Chaudronniers ; 1846, 1856, 10 rue des Chaudronniers ; 1866, 1872, 5 rue des Chaudronniers ; 1896, 1901, 11 rue Jean-Bart

MELSEN Benjamin Louis : professeur d'escrime et professeur de danse, né à Dunkerque ca 1851, † Dunkerque le 27 décembre 1899, épouse à Dunkerque Marie Eugénie Adolphine LOORIUS née à Bergues ca 1862, fille de Adolphe Edmond Alfred (fabriquant de parapluie).
Enfant : Victor Augustin né à Dunkerque le 16 mars 1895.
Domiciles : 1884, 49 rue des Capucins ; 1895, 44 rue des Vieux Remparts.
5 avril 1884 : "B. Melsen, professeur d'escrime et de danse, 49 rue des Capucins, Dunkerque. Cours d'escrime 3 fois par semaine, leçons à domicile." (105)

MELSEN Edmond Charles
: artiste musicien, facteur d'instrument de musique, luthier, marchand de musique né à Dunkerque le 13 janvier 1837, fils de Louis Baptiste Désiré (voir ci-dessous) et de Joséphine DEGRUSON, épouse à Dunkerque le 4 février 1868 Malvina Julie MORTIER* née à Dunkerque le 16 août 1839, fille de François Xavier (limonadier) et de Marie Anne Jacqueline Françoise MULLOT (rentière), † Dunkerque le 31 août 1905.
Domiciles (106) : 1861, 10 rue des Chaudronniers ; 1866, 8 rue Morienne, fabriquant instruments de musique ; 1876, 1877, 24 rue des Capucins, facteur de pianos et marchand de musique ; 1904, 24 rue Alexandre III (107).
Témoin à la naissance le 19 juillet 1867 (profession : luthier).
"Vve E. Melsen. pianos et harmoniums, instruments de cuivre et bois, Musique Accordéon Français et Allemands" (108)

MELSEN Louis Baptiste Désiré
: professeur de musique, né à Dunkerque le 5 juin 1807, † Dunkerque le 27 août 1872, fils de Louis François (instituteur) et de Jacqueline Félicité VANDERVECKE, épouse à Dunkerque le 25 janvier 1831 Haima Joséphine DEGRUSON née à Ghyvelde (Nord) le 17 avril 1805 fille de Charles Joseph (lieutenant des douanes) et de Joséphine Pélagie DAMIENT.
Enfants : Jules Constant Désiré né à Dunkerque le 30 septembre 1832, † Dunkerque le 24 octobre 1832 ; Céline (Nelly) Joséphine (ouvrière modiste) née ca 1834 ; Edmond (voir ci-dessus) ; Alfred (voir ci-dessus) ; Emma Joséphine (modiste) née ca 1843, épouse de Louis Eugène BEAUCHERAT*, épouse de Louis Désiré Augustin DELHOMME* ; Alfred Henri né à Dunkerque le 21 septembre 1840.
Domiciles (109) : 1832, 1837, 7 rue Ste-Barbe ; 1841, 1846, 1856, 1861, 10 rue des Chaudronniers ; 1866, 1872, 5 rue des Chaudronniers.
1835 29 avril : passeport pour Lille (110). Témoin aux mariages : 20 janvier 1829, 14 février 1829, 17 octobre 1832, 10 février 1835, 29 février 1848 (cousin de l'époux), au décès : 18 juillet 1832, 17 janvier 1862.

MELZEL M. : professeur de musique.
1845 : Directeur de la Société de Musique (111).

MENSSE Joseph : musicien ambulant, né à Tournay (Belgique) ca 1825, époux de Catherine MOREAU né ca 1824.
1847 16 octobre : passeport pour Lille, demeure à Tournay, venait de Valenciennes (11 septembre 1846) (112).

MERCIER Michel Jean Baptiste : maître de danse, né à Rouen (Seine Maritime) ca 1720, épouse à Dunkerque le 30 septembre 1760 Marie Marguerite Joséphine DAVE née ca 1732.
Domiciles : 1760, rue du Château (113) ; 1763, rue Notre Dame (114), marché au Bled, invalide (115) ; 1766,1768, rue d'Anjou ; 1771, rue du Château (116) ; 1778, rue du Pavillon St-Eloi (117) ; 1785, quai Ste-Thérèse (118). Témoin aux Mariages : 17 mai 1763, 19 juillet 1768, 11 avril 1771, 2 juin 1778.
1786 : "Messieurs les bourmaitres et echevins des ville et territoire de Dunkerque. Supplient très humblement les Srs Mercier et Jevin maîtres de danses en cette ville.
Disant que depuis longues années ils se sont appliqués à donner à la jeunesse de cette ville cette sorte d'éducation qui dépend de leur état dont tout le monde connoit l'utilité. Lors de leur établissement ils reconnurent avec plaisir que leur capacité devenant nécessaire dans une ville comme cele-ci on, encore bien que les talents soient encouragés par des magistrats attentifs a tout ce qui regarde la population, il ne se trouvoit pas de Maîtres et ne balancèrent pas d'abandonner toute autre perspective pour celle de se dévouer entièrement au public.
Ils n'envisagèrent que cette douce satisfaction pendant tout le temps qu'un age robuste leur a permis de se sacrifier dans la société. Ils osent même avancer qu'ils trouvoient par les bontés du juge un tribut à leur travaux par le moyen du privilège qui leur étoit accordé de donner au public tous les lundi du carnaval les preuves ou progrès que faisoient les enfants dans leurs écoles, ils trouvoient par le payement des billets d'entrée au spectacle ou ils ouvroient Bal d'enfants un salaire qui quoique médiocre ne laissoit pas que de les encourager, de leur côté ils avoient soin d'apprécier le mérite des anciens et ces derniers avoient le choix du jour qu'ils trouvoient le mieux convenir à leurs intérêts, S'aidant mutuellement dans les travaux et embarras qu'exigeoient ces bals, et les familles sensibles à l'éducation des siens jouïssoient de la joye que ces fêtes inspirent.
C'est ainsy que les choses se sont passées jusqu'à présent les encouragements aux arts ont toujours été accorder par le siège, avant les suppliants, le sieur TELLIER* jouissoit de la ville d'une pension, ceux qui lui ont succédés auroient pu en solliciter la continuation mais réfléchissant sans doute sur les grandes charges dont elle est acablée, ils se sont bornés à réclamer le privilège dont on vient de parler et qui toujours été defere (?) pour le choix du jour aux plus anciens.
Rien ne paroitra plus juste le plus naturelle que cette déférence lorsque l'on verra des vieillards accablés par le poids de leurs années et courbés par les travaux qu'ils n'ont cessés de faire pour le public par une inclination naturelle de bons citoyens, quelle seroit donc leurs ressources dans le déclin de leurs jours s'il en étoit autrement, cette idée revolteroit sans doute, cependant les suppliants craignent si seulement ils doivent s'en rapporter à des bruits imaginés que de nouveaux venus aggréer maître de danses voudroient prétendre à ce privilège sans égard pour leurs anciens.
Comment concilier cet avantage gagné par des anciens avec la prétention injuste et frivole de jeunes gens venus en cette ville tout récemment, tombe t-il sous le sens que ces jeunes gens qui ont le bel age, puissent a la fois jouir de cet avantage qu'ils retireront par leurs travaux futurs aux quels ils mettront surement plus d'intérêts que les anciens n'en ont jamais mis et de celui qui a été gagné et qui n'est du qu'aux anciens.
Les suppliants trop convaincus de la justice du siège pour s'arretter à cette crainte ont l'honneur d'y recourir avec confiance.
À ce qu'il plaise au siège accorder aux suppliants le privilège ordinaire de donner bal d'enfants à la sale de spectacle les lundi de chaque semaine depuis les Roys jusqu'au jour de Carnaval alternativement entre tous les maîtres de danses de cette ville, ordonner néanmoins que les trois derniers lundis seront deferés aux plus anciens maîtres exerçants en cette ville et qu'a compter du Carnaval de 1787 les dits trois derniers bals d'enfants seront au profit commun des deux plus anciens maîtres soit qu'ils y assistent soit qu'il ne le puissent par age ou infirmité de l'un d'eux, cette bonté qu'ils osent esperer du siège sera une récompense au mérite et exitera le zèle des nouveaux maîtres et la continuation de celui des anciens qui ne cesseront leurs vœux au Ciel pour la conservation de vos précieux jours.
En considération de l'ancienneté de service accordons aux supplians les deux derniers bals de Carnaval et quant aux autres bal les accordons aux plus jeunes maîtres de danses, fait à l'assemblée du 4 novembre 1786" (119)
25 janvier 1794 : "a été remis de la part de J. B. Mercier, habitant de cette commune, un certificat d'invalide a lui délivré le 1er janvier 1776 aiant servi en qualité de soldat pendant 25 ans dans le régiment cy-devant de Bourbonnois avec 54 livres de pension par an et permission d'en jouir dans la Compagnie de Lille. aiant déclaré ne voulant rien conserver qui puisse lui rappeler le despotisme." (120)
9 février 1794 : "pétition de J. Bte Mercier, soldat invalide, natif de Roüen, département de la Seine Inférieure, tendante à être déchargé de sa contribution patriotique le conseil accorde un avis favorable pour appuyer sa demande auprès du district." (121)

MERGER
: musicien.
Domicile (122) : 1790, rue du Magasin à Poudre.

MERIAS Louis : musicien au régiment de Chartres.
Témoin au mariage le 11 septembre 1780.

MERLIAC Louis : musicien † à l'armée, époux de Hiacinthe RICHE.
Enfant : Françoise Victoire née à Dunkerque le 21 juillet 1781, épouse à Dunkerque le 19 novembre 1801 Pierre François Edmond MOTET (officier de santé).

METERAUX dit DURAND Pierre Joseph : artiste né à Biètre sous Laon (Aisne) époux de Marie ROME née à Le Mans (123) (Sarthe).
Enfant : Pierre Adolphe né à Dunkerque le 18 janvier 1805.

MEUSSE Joseph : musicien.
Enfant : Pierre François né à Dunkerque le 4 mai 1846.

MEY Fredrich : facteur de pianos, né à Mannheim (Baden).
1840 12 juillet : passeport pour Le Havre et ensuite en Amérique, demeure à Mannheim (124).

MEYER Job Henry : musicien, maître de musique né à Hanovre (Allemagne) (125) ca 1752, fils de Job Henry et de Marie Elisabeth KLIP, épouse à Dunkerque le 26 janvier 1790 Jeanne Magdeleine CENANT née à Dunkerque ca 1752, fille de Laurent et de Jeanne Françoise PERREYN NASELLE.
Domicile (126) : 1790, rue Ste-Barbe.

MEYER Jean Henry Frédéric : musicien, né à Koel ca 1808.
1836 4 août : à Dunkerque, demeure à Koel (127).